Du 3 au 7 février, des représentants des communautés de Palmarin ont participé à une formation résidentielle sur le plaidoyer. Pendant cinq jours, les jeunes, élus locaux, membres des groupements d’intérêt économique (GIE) et du cadre de concertation de Palmarin ont ainsi été formés par l’experte Mariamé Ouattara, pour structurer leurs actions de plaidoyer et défendre efficacement des causes prioritaires pour leur territoire.

Parmi les enjeux abordés – l’accès des femmes à la terre, l’érosion côtière et la gestion des ressources en eau – la problématique de l’accès à l’eau potable a été jugée comme urgente et cruciale. Ce déficit freine les activités agricoles, affecte les besoins domestiques et limite l’autonomisation des femmes.

Conscients de ces défis, les participants ont élaboré un plan d’action visant à mener un plaidoyer auprès des autorités, administratives, régionales et locales , pour convaincre l’Office des Forages Ruraux (OFOR) de construire, d’ici 2027, un château d’eau spécifique et opérationnel dans la localité. Un chantier qui mobilisera divers acteurs, notamment les groupements de femmes, les élus locaux et les partenaires techniques, dans une démarche collective et inclusive.

Dans le cadre de cette formation, une visite d’échange a été organisée entre la Réserve Naturelle Communautaire de Palmarin – RNCP et l’Aire Marine Protégée (AMP) de Somone. Une opportunité pour ces deux institutions de partager les pratiques et les modèle de gouvernance de leurs ressources halieutiques.

Les femmes de Palmarin en ont profité pour échanger avec celles de Guéréo Sérère sur leurs expériences respectives, identifiant des opportunités de collaboration et renforçant les liens entre les communautés.

Des alliances prometteuses pour relever ensemble les défis du développement local !

𝐶𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎 𝑒́𝑡𝑒́ 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 « 𝐴𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝐶𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐹𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑛 𝐴𝑓𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑂𝑢𝑒𝑠𝑡 » #𝐴𝐶𝐹𝐴𝑂, 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑟 𝑙’𝑎𝑑𝑎𝑝𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑠𝑖𝑙𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑟𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜̂𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒́𝑐𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠. 𝐴𝐶𝐹-𝐴𝑂 𝑠𝑒 𝑑𝑒́𝑟𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑔𝑖𝑜𝑛 (𝑇𝑜𝑔𝑜, 𝐺𝑢𝑖𝑛𝑒́𝑒 𝐵𝑖𝑠𝑠𝑎𝑢, 𝐶𝑜̂𝑡𝑒 𝑑’𝐼𝑣𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑆𝑒́𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑙), 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑜𝑟𝑑𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑’Inter Pares 𝑒𝑡 𝑑𝑒 SUCO solidarité union coopération 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙’𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 Le développement international du Canada – Affaires mondiales Canada.